19 January 2025

la cour des miracles, Athènes mai 2023

Passons sur les circonstances qui m’ont amenée avec Kostas dans l’un des deux grands hôpitaux d’Athènes avec service d’accueil pour les urgences.
Athènes 6 millions d’habitants, et là en cette soirée un millier de personnes en quête de soins ou de diagnostics, ce qui fut mon cas.
La 1ère urgence fut d’arriver avant 20 heures, car l’hôpital est censé fermer ses portes à 20 heures.
Nous verrons plus tard en allant boire un verre et encore plus tard en quittant l’hôpital que l’accueil se poursuivra au-delà du temps prévu avec une queue de malades d’au moins 15 mètres à minuit trente.
Je vais donner à ce récit divers titres pour que vous puissiez vous arrêter et reprendre aisément votre lecture, car je pense que ce texte fera, non pas un kilomètre, mais bien quelques pages.

La réception
D’entrée de jeu nous sommes au parfum. Nous sommes nombreux, tous stressés pour être enregistrés avant 20 heures. Un homme recroquevillé à terre, menottes aux poignets, policiers l’encadrant : notre 1er toxico, tranquille celui-là pour ne pas dire pire.
Notre tour et hop direction le service de cardiologie.

Salles d’attente
En fait il s’agit d’un long corridor, étroit avec de part et d’autre sur 60 mètres ou plus, des patients. Certains assis sur des sièges de fortune, sur des lits ou pour la plupart debout. Debout, assis ou couchés, l’attente peut durer plusieurs heures. L’ambiance est grise, terne, lourde.
Nous avançons en devant parfois bousculer certains sans gêne se déployant sur toute la largeur du corridor. Pas de décor, pas de photos, de peinture ou quoique ce soit permettant sinon de se divertir, au moins de diversifier l’attente. Non les murs sont aussi ternes que les patients dont une partie s’afficheront comme étant très impatients.
Notre salle d’attente conduit au service de pathologie et à la cardiologie. De porte en porte nous entrons en cardio pour donner notre sésame d’entrée, et hop illico presto nous retour à la case départ dans le boyau d’attente.
Trois personnes étant inscrites avant nous, nous sommes contents de ne pas devoir attendre trop longtemps. Oh, illusion et désillusion….

Le club des impatients
Davantage en cardiologie que devant la pathologie, un groupe de 5 ou 6 hommes, émaillé au fil des heures pas la présence d’une femme ou l’autre, bloque l’entrée et par conséquent la sortie du bloc. Ils sont statufiés, ne bougeant que pour une raison impérieuse. A tel point qu’il faudra à plusieurs reprises faire appel au service de sécurité pour mettre de l’ordre dans ce désordre. Car non seulement ces têtes de « Turc » freinent le passage, mais ils initient le blocage de tout le trajet dégurgitant les malades comme on pourrait en vomir après un repas indigeste.
Les chaises roulantes, les lits roulant à 200 à l’heure ne peuvent passer malgré les cris des divers conducteurs. Il est sûr qu’ils n’ont pas passé leur permis de conduire et il est aussi certain que peu dans ce goulet, ont des notions de civilité. C’est juste effroyable et tout ça dans un vacarme terrible. Pour nous entretenir, Kostas et moi devons presque crier.


L’appel
Vacarme disais-je. Pour appeler le suivant qui sera suivi après avoir été suiveur, le personnel, une femme en général, hurle le nom du suivant…hurle à plusieurs reprises. Parfois avec succès, souvent dans le vide. Est-ce que les appelés en ont eu marre et désertent le couloir de la mort. Car oui, on verra un DCD s’en aller. Il n’y a pas de sortie des artistes… mort ou vif, tous sont logés à la même enseigne…le corridor.
Bon nous attendons le hurlement qui me fera entrer dans la salle dont je ne peux donner le nom tant elle est incroyable … de désordre, de bordel, de va et vient, de bruits, d’odeurs, de souffrances… mais oh misère, les deux personnes qui devaient passer avant moi se sont mutées en une dizaine au moins. Je ne sais. Je n’ai pas compté. Des urgences parmi les urgences et celles-là non numérotées de fait. Urgence et on comprend pourquoi en voyant les malades passer devant nous.
Plusieurs filent à un train d’enfer sur des lits qu’on aurait dû appeler médicalisés, mais …., d’autres en fauteuil plus ou moins roulant. Je vous l’ai dit, le permis de circulation fait souvent défaut, d’autant plus que, soit au bout du goulet, soit le long du corridor des dizaines de personnes rétrécissent le passage.
Encore une fois, le service d’ordre doit intervenir avec fermeté, ajoutant des cris aux cris.
Pour la petite Suissesse, bien stylée que je suis, respectant les règles et l’autorité (oui, oui, n’en déplaisent à certains, je peux être très civilisée), toute cette foire d’empoigne dépasse l’entendement. Théâtral ….c’est théâtral. Pour l’instant j’opte pour une pièce mélo dramatique mais d’ici deux heures de temps, le fou rire me prendra, à un tel point que je ne pourrai le retenir, et là certainement j’opterai pour une pièce tragicomique et j’en serai malade de rire, mais vraiment malade, nerveusement atteinte et Kostas à mes côtés rira aussi en se prêtant au jeu de cette folie. Vous comprendrez plus tard pourquoi car jusqu’à présent je ne vous ai même pas servi l’apéritif, juste les amuse-gueules.


Positions
Jusqu’à présent debout, voilà qu’un fauteuil roulant se libère. Plus tard nous nous appuierons contre un lit ne servant qu’à bloquer le passage. Finalement on nous en délogera pour aller chercher une urgence parmi les urgences. D’ailleurs en voyant tous ces malades, je me demande si je fais bien d’être là. Je dis à Kostas : j’espère bien que je ne suis pas venue pour rien. Et lui de rétorquer : j’espère vraiment que nous sommes venus pour rien. Comme quoi mon rien et son rien n’ont pas la même signification. Mais patience, le chemin de croix n’en est qu’à ses débuts. Il doit être 22 heures environ.
Nous voyons défiler de nombreux malades, essentiellement sur des lits, souvent accompagnés d’un ou de deux, trois, quatre membres de la famille. Avec valises. Ben voyons ! venez, venez, augmentez le cheptel, Y en a pour un, y en a pour cent. Y en a pour cent, y en a pour mille. Ah non la parabole de la multiplication des pains et des poissons n’a rien à voir. Quoique ….


Le personnel
Quoique….
Je dois ici exprimer ma reconnaissance et forcer l’admiration qu’on peut avoir pour le personnel médical. Ce sont vraiment des gens dévoués qui forcent le respect. Bosser, trimer, œuvrer dans de telles conditions tient du miracle.
Un des infirmiers à l’accueil sort et rentre, sort et rentre pour diverses missions secrètes. Mais à chaque fois il me sourit. J’ai même l’impression qu’il retient un rire. Est-ce ma bonne mine et la lumière qui me transcende qui le mettent en joie ? Est-ce parce qu’il aime les gens ? parce qu’il aime son métier ou tout simplement parce qu’usé par la fatigue, c’est son seul exutoire ?
Une autre, petite fiole de sang à la main, court porter le précieux liquide au labo. J’espère qu’ils ont bien mis le nom (ou le numéro) de celui à qui il appartient. Car des erreurs dans ce genre de services pourraient être fatales.
Je le verrai plus tard à l’intérieur du cloaque, tout le personnel – combien sont-ils dans cet espace réduit ? 15, 20 ? plus ? sont extrêmement affairés. Certains courent dans tous les sens chargés de plusieurs missions à la fois. D’autres, tout-à-coup s’arrêtent, comme pour chercher de l’air, une inspiration ou ne cherchant rien que de s’arrêter au milieu de cette ruche bourdonnante.

La doctoresse qui s’occupera de moi, a en charge au moins 5 ou 6 patients à vue de nez, peut-être plus, sans doute plus. A l’ordinateur, au téléphone, auprès des infirmiers, vers les malades … j’en ai le tournis, elle n’arrête pas. Sauf pour discuter d’un cas auprès du grand manitou. Exténuée, je la verrai à plusieurs reprises, elle a gardé son self contrôle, ce qui n’est pas le cas de tous.
La bonne femme, quel est son titre ? l’aide qui me fera l’électrocardiogramme est d’une brutalité sans nom. Je crie : STOP ! tant elle me brusque. Poussant brutalement un de mes seins, me tapant sur l’épaule – j’en garderai un bleu pendant plus de 10 jours – soulevant ma bedaine, écartant mes jambes pour y poser ma bouteille d’eau. Je n’ai jamais subi autant de brutalités et je m’insurge, un peu inutilement. Je comprends cependant : l’affaire ne prend que quelques minutes, elle m’arrache le tout et file avec son monstre brutaliser quelqu’un d’autre. La pauvre, je pense qu’elle doit se faire une 20taine d’électro par heure. Il y a de quoi devenir maboul. Et je compatis.
Un autre semble s’être vengé sur moi. Tout à la fin de mon parcours initiatique dans ce monde de fous, alors que le grand chef et la doctoresse se sont consultés un bon moment sur mon cas : on la garde ? on la garde pas ? … c’est quitte ou double, apparemment il n’y a rien de grave ou d’urgent, j’ai pourtant l’impression qu’ils jouent à la roulette. Et on est vendredi soir, tard, très tard et jusqu’à mardi matin, si je reste, personne ne s’occupera de moi car le service se fermera d’ici quelques heures pour un long week end, que je leur souhaite de repos. Donc, scotch et aiguille pour l’intraveineuse dans le bras, je demande qu’on me l’enlève. Et hop, saisi au vol, un jeune infirmier m’attaque, arrache les sparadraps, arrache l’aiguille et me bâillonne le bras avec au moins 4 tours de scotch en guise de pansement. Mais si fort que mon bras en devient bleu ! Ah le salaud ! il s’est vengé de tout le stress qu’il doit supporter. Je n’en reviens pas.
Mais revenons à ce qui est loin d’être la conclusion de cette affriolante immersion dans le monde hospitalier.
Avant tout ça, au bout de deux heures trente j’avais osé entrer dans le saint des saints pour m’enquérir du temps à encore patienter. Un homme à qui je voulais m’adresser m’a rapidement répondu : je ne vous ai jamais vue ! heu…. Un autre m’a dit qu’il était juste là comme observateur et ne pouvait me répondre. Finalement c’est le p’tit rigolo qui m’assuré que ce sera immédiat.
Un jour vaut mille heures !!!! Heureusement pas dans ce contexte et effectivement une demie heure plus tard je suis appelée et j’y vais.
Mais je parlais de miracle. Oui. La patience, le don de soi, l’abnégation, le courage, la résistance de ce personnel a forcé mon admiration. Epuisé, travaillant des heures et des heures, dans le bruit, dans l’urgence, dans des odeurs, sans respirer d’air frais…. Quel courage ! et cela sans parler des terribles situations devant lesquelles ils doivent agir, trouver des solutions, ou du moins une, juste une, pour soulager, car à ce stade je ne sais si l’on peut parler ou espérer des guérisons …. Des moins mal-être peut-être, transitoires, passagers. Oh Seigneur l’humanité est bien mal en point.


La cour des miracles.
J’entre dans la cour des miracles. Oui je sais certains me diront que la cour des miracles c’était encore autre chose. Et qu’on n’est plus sous Louis XIII et Louis XIV, mais je vous promets, cet enfer ne peut mieux porter son nom. Certes, l’on n’y joue pas la comédie pour implorer la pitié et l’aumône des passants mais vraiment toutes sortes de miséreux sont là, vagissant, meuglant, pleurant ou dans un silence résigné et stoïque.
Ce qui devrait être une salle de, en gros 30 mètres sur 8, contenant 6 ou 7 séparations pour y mettre 6 ou 7 lits, allez, soyons généreux 8 lits. Et bien en ce moment elle contient au minimum une douzaine de lits, en travers, bloquant l’entrée, presque jusque sur le bureau de l’accueil, sans compter les personnes assises sur des chaises. Un certain nombre de familiers sont également présentes. Une chatte n’y retrouverait pas ses petits.
Et valsant parmi cette faune, le personnel dans des blouses de couleurs diverses, voire sans distinction aucune, danse. Une danse effrénée allant de l’un à l’autre dans autant de services, de missions que je n’ai pas vraiment le temps d’analyser.
On m’indique l’endroit où je dois me rendre. Tout au fond du fond. Je traverse la jungle et là l’opératrice à l’électrocardiogramme viendra sévir dès que j’aurai répondu à l’infatigable doctoresse.
Tout cela fait, on me renvoie à mon cher corridor dans lequel je suis censée attendre 1 heure pour connaître la suite des événements. Kostas me propose d’aller à la cafétéria.
Vide, elle est vide. Propre, elle est propre. Silencieuse, elle est silencieuse. Suis-je transportée dans un autre monde ?
Et là dans la tranquillité de cette oasis, nous repensons à ce que nous avons pu observer sinon subir ces dernières heures.
Les malades et les autres
Parfois on voyait passer des gens en très grande souffrance. Certains respirant avec peine, haletant bruyamment. D’autres passaient dans un silence assourdissant laissant juste transparaître leur douleur. Certains encore, à grand cris, gesticulant, s’accrochant à leurs fils ou à leur fille par peur ou par douleur. On ne sait. Et tout ce que nous avons pu voir en cinq heures de temps n’était perçu que par nos sens. Nous n’avions pas accès à l’intérieur des corps ou des âmes. Mais c’était déjà bien assez.
Le service de cardiologie était beaucoup plus dramatique qu’en pathologie, bien que de là nous avons vu à plusieurs reprises un type, parlant à très haute voix, criant presque, naviguant d’un bout à l’autre du corridor sans aucune interaction avec quiconque. Seul, muré dans son délire. Il allait, revenait et de temps en temps retournait dans la salle de pathologie sans qu’on comprenne pourquoi. Puis il ressortait et refaisait le même cirque. Toxicomanie, tu as de beaux jours devant toi.
Tout à coup un homme, la trentaine, se serrant les bras pour camoufler des plaies béantes dues aux injections arrivait jusqu’au bout du couloir hurlant : exodos, exodos, exodos, avec sa pauvre mère qui le suivait en courant et tentait de le calmer et surtout de l’inviter à rester pour se faire soigner. Mais lui, sous l’emprise de la drogue ne pouvait s’arrêter et nous ne l’avons plus revu. Probablement qu’il a trouvé la sortie pour une seringue faisant plus d’effet que celles des toubibs.
Il y en avait un qui régulièrement sortait de la pathologie et promenait son urine comme d’autres promènent leur chien. Il sortait puis revenait, sortait à nouveau et revenait. Nous n’avons pas su pourquoi. Vers la fin, il est sorti sans son urine mais avec un cigarillo au bec. Je crois que c’est ce qui a déclenché notre fou rire…inextinguible. Trop c’est trop et nous avons commencé alors à déconner, plaisanteries et satyres sur ce cirque humain parallèlement à des drames qui se jouaient devant nous.
Un homme sur un lit, ou plutôt devrais-je dire un lit sous un homme a passé. 300 kg, plus…peut-être pas loin de 400. Une montagne de graisse, de ventre, de cuisses, de joues, de bajoues, de menton à multiples étages s’est fait rouler devant le public saisi. Un peu plus tard quand je suis entrée dans la salle, je l’ai revu. Le lit était au beau milieu de la pièce bloquant le passage. On tentait de lui faire quelque examen et pour ce faire, il devait se mettre de côté. Chose impossible. On l’a tiré un peu au bas du lit pour que ses jambes, pendantes l’entraînent dans la dénivellation voulue. Mais là, toute la graisse de son ventre, telle une motte de beurre gigantesque, que dis-je une motte, une montagne de graisse a commencé de rouler vers le vide sidéral hors du lit. C’était comme un film au ralenti. J’avais envie de me précipiter pour bloquer la chute vertigineuse de la chair ainsi lancée dans une course inarrêtable.
Ouf ! je me suis retenue, et oh miracle, la mise de côté a cessé devant l’impossibilité de mettre ce pauvre homme complètement sur sa gauche. Je ne sais comment ils sont parvenus à l’examiner. Ils ont probablement dû ruser d’astuces.
Non, moi je suis allée rejoindre ma doctoresse qui, épuisée, m’a dit d’attendre encore un moment après avoir consulté son ordi, m’annonçant qu’ils voulaient me parler de la suite à venir.
Je suis donc retournée à la salle de spectacle.
Un homme, la quarantaine, qui précédemment avait à plusieurs reprises tenté de me dragotée s’est approché, m’a demandé d’autres précisions : mon nom, ce que j’avais et patati et patata…très intrusif. Il me parlait en italien et ne me lâchait pas la grappe. Un Albanais. Il faisait partie du nouveau club parasitant la porte d’entrée du service et pire encore, la porte de sortie (mais oui, mais oui, c’est la même !!) et c’était tout juste s’il ne fallait pas montrer patte blanche pour passer. Ces insolents s’administraient le rôle de vigie. Et là encore, le service de sécurité a dû intervenir à coups de gueule, à au moins trois reprises. Un pseudo ordre, enfin s’est installé pour un moment.
Une femme les a rejoints et blablabla et blablabla, c’était à qui se montrerait le plus dramatique dans son histoire. Je n’y comprenais rien mais Kostas était excédé par ces comportements de bas étages.
Finalement j’ai envoyé l’Albanais sur les roses et cela a dû le vexer car après il est allé squatter l’autre bout du corridor.


In Fine
Nous avons vu des horreurs, des personnages au comportement plus qu’indélicats, mais nous avons aussi mesuré la dose de patience, souvent de dignité de la part de beaucoup. Sagesse, retenue, silence, respect faisaient aussi partie du lot.
J’ai donc maintenant une toute petite expérience des hôpitaux grecs. Trois que j’ai visités en tant que patiente et deux en tant que visiteuse ou accompagnatrice.
Une fois même, en Crête, comme aide infirmière car il faut savoir que si vous n’avez personne, ami ou famille pour vous apporter de quoi mieux manger que l’insipide repas qu’on vous sert, ou personne pour changer la poche de liquide intraveineux au bout de la potence, ou pour apporter des draps, parfois nécessaires, un coussin, ben mon colon, vous êtes un peu largué. La possibilité de louer les services d’une aide est envisageable…avec quelle garantie pour un bon, gentil et sympathique service ? Je vous le donne en mille : aucune garantie, car ces personnes sont surchargées.

Ce matin j’ai reçu la facture annuelle de mon assurance voyage. Je me suis empressée de la payer tant il est certain que si malheur devait m’arriver, je retournerais illico presto me faire soigner en Suisse.
Mais il paraît que là aussi, des manquements se font sentir. Peut-être, peut-être. Cependant je suis sûre qu’un billet d’avion vaut mieux qu’un séjour prolongé dans un hôpital tout athénien qu’il fût.
Je ne voudrais ici jurer de rien, car dans l’urgence je pourrais aussi être extrêmement reconnaissante si le besoin était, de retrouver cet asile.
Je ne suis pas douillette. En général assez patiente et compréhensive, mais là …. J’ai failli atteindre mes limites.
Comprenez-vous ?

p.s. Vous pouvez par le mail ci-dessous, me faire part de votre avis. Vous avez peut-être expérimenté autre chose, ou….

Nos textes sont traduits par Deepl. Si vous souhaitez nous aider, nous vous en serons très reconnaissants. Merci de votre compréhension!

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