Dernières nouvelles ou commentaires au sujet de la vie qui court en Grèce, à Tinos ou ailleurs comme en Suisse et
en début ou fin de mois CADEAU : une recette totalement inédite, inventée, personnelle
Défense de la langue française, défense de mon territoire. Proclamer haut et fort la justice et ne pas laisser l’ennemi vaincre.
Poursuivre avec amour, les yeux ouverts cependant et la bouche pleine de sagesse. Telle est ma bannière en ce mois de février d’où les cœurs en couverture
28 février Comme me l’a envoyé une amie, c’est le seul mois de l’année où les hommes ont toujours raison les 29, 30, 31 février. Finalement je n’ai pas trouvé cela très drôle. D’abord je me suis demandé pourquoi les hommes et non pas les femmes. Et puis non, ni l’un ni l’autre. Ce n’est pas aimable de penser comme cela. Si je me fie à ma propre expérience, il y a bien des jours où mon homme a parfaitement raison et me ramène me corriger par sa sagesse. Il est vrai que souvent aussi j’ai raison et qu’il approuve bien des chois, des décisions que j’ai prises.
Ce que je n’aime pas dans cette « plaisanterie » c’est un humour qui remet en cause notre relation et est pleine de jugement sous le couvert d’une soi-disant drôlerie.
C’est comme les humoristes. Peu d’entre eux me font vraiment rire ou une fois ou deux. Pourtant je suis pleine d’humour et rigole beaucoup et très souvent. Allez y comprendre quelques chose.
Néanmoins je veux bien être conseillée en la matière et vous remercierai si vous me faites connaître des « comiques » vraiment drôles.
Et demain : mars. Le joli mois de mars qui nous fait virer sur le printemps. Yes !
26 février Alors qu’un poème décrivant des étapes de vie ressurgit du passé en transitant par diverses fleurs, alors que je m’apprêtais à poursuivre sur cette lancée poétique, la bise a pris toute son ampleur et nous gèle jusqu’aux os. Bref, la poésie d’un feu ronronnant à la cuisine me réconforte et chauffe mes os et mon âme. les fleurs attendront encore.
Les événements mondains parasitent la télévision. Une partie de Taveli vaut mieux que de me faire manipuler par les merdias. Cependant l’attrait de ces sources nauséabondes est fort. Résister, résister, résister….en cela et pour d’autres choses
24 février Quand j’étais jeune, je voulais régulièrement tenir un livre de bord, un journal intime en quelque sorte. Jamais je ne tenais plus de quelques jours. La discipline, la régularité ne sont pas mon fort. M’astreindre chaque jour à faire le même exercice est juste impensable et pourtant je n’y arrive pas trop mal depuis que j’ai commencé ce site et en particulier ce blog.
Il y a des blessures du passé qui se colmatent. En effet, ma révolte contre la discipline date du 2ième jour de ma scolarité obligatoire. J’avais à peine 6 ans.
Le lundi je suis allée à l’école, accompagnée de ma mère. Bon c’était pas folichon mais cela a passé, je n’en garde pas un traumatisme. Mais et c’est là que tout a changé quand au 2ième jour, le mardi, ma mère m’a réveillée, me demandant d’entrer dans le rituel, salle de bains – s’habiller- déjeuner- prendre mon sac – tout vérifier- ptit bisou – sois sage- travaille bien et patati et patata… Là j’ai réalisé que désormais tous les jours de ma vie allaient se ressembler. Décidément la vie ne valait plus la peine d’être vécue. c’est ce que j’ai décrété.
Heureusement depuis je me suis pardonnée d’une telle pensée et de cette horrible décision et me suis repentie. En ce jour, quand je constate que petit à petit, j’arrive à tenir ce blog, eh ben, mon colon, on peut dire que j’ai changé !!! et j’en suis ravie.
Et OUI la vie vaut la peine d’être vécue, bien que les difficultés, les drames, et tant d’autres événements difficiles, de notre fait ou de la part d’autrui ou simplement conséquences d’une société malaaaaaaade nous pousseraient à abandonner voir pire, eh bien oui, relevons le front et reconnaissons tout ce qui est beau et bon. Exprimer notre reconnaissance est un pas à faire chaque jour et ce pas nous entraîne dans la bonne voie.
Bonne journée !
22 février ça alors. 10 jours sans donner aucune nouvelle. Bon ok, au moins 9 jours de grosse grippe, ça bloque un peu. Mais aussi les nouvelles assourdissantes de ce monde en pleine décadence. En ce début d’année et en ce mois de février, vu l’image annonciatrice du mois, pleine de petits cœurs, de promesses d’amour, j’avais la ferme intention d’arrêter de me plaindre et de maudire les personnes aux commandes de nos pays afin d’orienter mon âme. mes pensées set celles de mes lecteurs, vers plus beau, plus haut, meilleur que la boue nauséabonde qui nous est servie quotidiennement, en particulier par les merdias.
Qu’il est difficile de s’y tenir ! c’est la principale raison de mon silence de ces derniers jours. Je n’arrivais pas à me détourner des horreurs servies sur un plateau.
Il y a un événement parmi d’autres qui me laisse consternée et je ne vais pas entrer dans les détails d’une affaire non seulement tragique mais aux reflets, aux relents tous plus épouvantables les uns que les autres. Ce qui m’attriste dans cette histoire est le sort d’un bébé à naître. Il est déterminé par la loi française qu’un enfant n’est enfant que si. hors du ventre de sa mère a respiré au moins 1 fois. Il est alors déclaré enfant, vivant, être humain.
Mais que fait-on du fait que cet enfant a vécu déjà plusieurs mois, vie intra utérine, a grandi, a senti, a écouté, a réagi. a pris des caractéristiques, a commencé à forger son caractère, sa personnalité (certes, la suite prendra le relais, parents, entourage société…pour poursuivre ce long travail qu’est le devenir d’un être humain). Cependant l’enfant est déjà bien là. Et que fait-on également des sentiments, des émotions de la mère envers cet être grandissant ? Ne nourrit elle une relation qu’avec un vermisseau, un insecte, juste un amas de cellules ?
Peut-on réellement faire fi de cet enfant comme s’il n’avait as existé ?
12 février C’est toujours avec étonnement que je tombe malade. Pourquoi ? Comment ? Qu’est-ce qui dérègle la machine ? En ce moment quoique je fasse, j’ai l’impression de tâtonner pour trouver le meilleur. Alors que souvent je m’émerveille devant l’incroyable et magnifique façon dont notre corps a été créé, je vois aussi à quel point nous pouvons facilement nous méprendre et négliger les signes qu’il nous envoie. Et une fois le dérèglement en route, il n’est pas facile d’y remédier car tout est lié. J’interroge mon âme, j’écoute mon esprit et l’Esprit qui dépasse toute intelligence, car Lui seul pourra m’aider. Et pour cela j’ai besoin de patience et de douceur
7 février quelle journée magnifique, pleine de jolis projets et finalement sieste à peine levée, re-sieste après repas, puis enfin, le soleil couché, attablée pour ne pas faire grand chose. Quelle drôle de journée. Et pourtant m’accorder du repos, du grand et beau repos c’est une innovation. Les yeux du cœur ouverts, de la bonté et compassion à mon égard, je ne culpabilise pas pour un sou.
L’avenir est plein de promesses
3 février J’ai par le passé consacré pas ma de lignes à rouspéter contre certains chefs d’état soi-disant légitimement élus, j’ai ragé contre l’aveuglement de l’Europe dans cette guerre engagée contre la Russie. J’ai aussi bien râlé contre ce monde moderne et toute cette technique et technologie qui, régulièrement me saoule, car suis bien impuissante devant les problèmes que cela me pose.
Allez, en cette année 2023, je tente la positivité et la reconnaissance.
Aujourd’hui, merci pour ce beau soleil et merci pour la neige qui va tomber sur Tinos. Ce sera beau et sans doute très court et merci pour toutes ces activités littéraires qui me demande pas mal de concentration et de puiser dans mon répertoire d’images pour illustrer les propos de Kostas. Là je vais attaquer la retranscription des sketches sur Aunti Nikolaenika. Vous en saurez plus bientôt j’espère. Nous cherchons un producteur !
2 février cadeau : la recette promise. Hier soir souper totalement grec sauf une des entrées ( il y en avait 6 en tout ) et aussi un dessert inventé avec des biscuits laissés en rade.
La recette : des oignons rouges, nombre en fonction des convives et des autres plats. Hier j’en ai pris 7 beaux, bien rouges. Peler, couper en fines rondelles à séparer.
Dans une poêle, mettre du beurre. Soyez généreux. Attendrir les oignons à feu doux. Puis laisser couler du miel. Un bon miel. Mais pas trop car au final le plat sera légèrement sucré sans que cela prime. Saler, poivrer, éventuellement mettre un peu de piment concassé. Ajouter des dates coupées en 6 ou 8 morceaux. Mélanger. Réserver jusqu’au moment de servir. Réchauffer et au final mettre une giclée de vinaigre de framboises. Hum ! surprenant, délicieux.
Pourrait accompagner une viande blanche aussi.
1er février Déjà ? le nombre de fois où je me suis exclamée car le temps file tellement vite. Invention d’une recette. Jamais vue, jamais lue, jamais goûtée..